Difficultés rencontrées :
– surcharge de travail :
Vous devez pouvoir gérer une surcharge importante de travail, ponctuellement lors d’événements spécifiques (entraînements intensifs, préparations, compétitions, etc.).
Sans perdre vos compétences, votre énergie à cause du stress.
– organisation :
Une bonne organisation, vous permettra de gérer plus facilement l’emploi du temps de vos athlètes, ainsi que le vôtre.
– manque de temps :
Vous allez devoir inventer des nouvelles stratégies, pour économiser votre temps et surtout pour l’optimiser.
– gestion de la complexité de la performance :
La performance est généralement une suite de succès et d’échecs, avec hélas plus d’échecs que de succès, sauf cas exceptionnel.
Pour le succès :
Allez voir si la motivation de vos athlètes est toujours au top en testant à travers le baromètre de motivation.
Pour l’échec il faut gérer la déception :
Vérifier le muscle de l’estomac (GPC), c’est lui qui gère la déception et la satisfaction.
– manque de ressources :
Vous risquez, à certains moments dans votre existence de coach, d’y être confronté. L’adaptation par des solutions alternatives est parfois une excellente option pour pallier au manque de matériel (l’imagination, la visualisation, la PNL, sont des outils très puissants, pour travailler mentalement)
– manque d’énergie :
Je ne vous recommanderai jamais assez en cas de manque d’énergie de travailler avec le Neuro-training-sportif pour récupérer de l’énergie pour vous et vos athlètes.
– poids des responsabilités
La responsabilité est inhérente au métier de coach. C’est rarement de la « faute » de l’athlète, c’est surtout celle du coach. On remplace plus facilement un coach qu’un athlète. Attendez-vous dans votre profession à devoir prendre votre responsabilité pour rebondir plus facilement.
– solitude du coach
Vous vous rendrez sûrement compte, à un certain moment, que le métier de coach est un métier très solitaire. Tout le monde a un avis sur comment vous gérez votre équipe ou vos athlètes ; et malheureusement ça sera rarement le vôtre.
Vous devez tenir bon et faire valoir vos stratégies sans renier qui vous êtes.
– conflits :
Savoir gérer les conflits avec vos athlètes est très important, pour ne pas gaspiller de l’énergie. Je vous conseille vivement de travailler tous les conflits avec une séance de N-T-S. En effet, tous les conflits ont surtout une composante émotionnelle, et avec les baromètres émotionnels vous pourrez solutionner et apaiser tous ces conflits.
– concession :
Faire des concessions est parfois une solution ou un piège. Faites attention de ne pas aller trop loin et de ne pas renier qui vous êtes et surtout votre savoir-faire.
– relation avec les athlètes
Avoir une bonne relation avec vos athlètes est un euphémisme. La communication, la conciliation, la remise en question devrait vous y aider, en gardant un juste milieu.
– transmission :
Le métier de coach est un métier de transmission de votre savoir, de votre expérience, de votre savoir-faire et surtout de votre savoir-être. Formez-vous à la pédagogie et à la PNL si vous ne l’êtes pas déjà, vous aurez ainsi des outils supplémentaires.
– être créatif
Votre métier demande d’être inventif, pour avoir une longueur d’avance sur les autres, le but est quand même d’être plus compétitif, meilleur que les autres. Tous les inventeurs sont en avance sur leur temps.
– communication, échange, partage
Restez concentré sur ces valeurs continuellement pour enrichir votre pratique et votre relation avec les autres.
– confiance :
Si vous ne vous faites pas confiance, cela veut dire que vous ne validez pas vos capacités, donc que vous sabotez vos aptitudes de survie de base que vous utilisez quotidiennement et ainsi vous n’utilisez pas vos informations génétiques puisque vous n’avez pas confiance en vos processus internes. En étant capable de faire confiance, vous validez ces aptitudes et vous permettez à votre énergie génétique de fonctionner normalement. C’est votre vécu qui est la référence. Si vous avez 100 expériences où vous vous êtes fait confiance et 10 expériences où vous ne vous êtes pas fait confiance, ce sont les 10 expériences qui auront le plus d’impact sur vous. Il faut faire confiance à vos processus internes pour qu’ils puissent fonctionner naturellement.
– reconnaissance
La reconnaissance pour un coach, ne peut être apportée que par la réussite.
Et encore pas toujours, on voit habituellement la performance sans voir tout le travail qu’il y a eu avant et c’est normal, l’exploit est à un instant T, chargé d’une très forte intensité émotionnelle et c’est cela que l’esprit retient.
Pensez d’abord à donner tout votre savoir-faire, sans penser à la reconnaissance. Les seuls qui devraient être reconnaissants, pour tout ce que vous faites pour eux, ce sont vos athlètes, normalement.
– meilleure connaissance de soi
Je vous engage à toujours chercher à savoir qui vous êtes et comment vous fonctionnez. Ce sera le moteur de votre évolution personnelle et professionnelle.
– éclairage sur la pratique
Il faudra à un moment ou un autre, vous pencher sur l’aspect promotionnel de votre sport ou de votre métier. Cela veut dire que vous allez vous transformer en VRP, en panneau publicitaire, pour que les gens se focalisent sur vous. Cela peut vous permettre, en cas d’échec, de détourner l’attention sur vous et non sur votre ou vos athlètes.
– se former à d’autres techniques
Profitez de vos temps libres, pour vous former à d’autres techniques ou pratiques, pour enrichir vos compétences.
Vous êtes ici pour ça, alors profitez-en et ne vous contentez pas que de cela, allez voir ailleurs.
– compréhension
La compréhension est la faculté d’observation sous plusieurs angles, avec des points de vue divers. Dès que nous nous limitons à une définition personnelle dans notre vie, nous limitons nos capacités. Le système génétique et les informations qu’il contient sont en 3 dimensions, quand on observe quelque chose en trois dimensions, on améliore notre compréhension. La compréhension permet de dépasser les définitions acquises et de créer de nouvelles définitions pour appréhender les concepts et les expériences, ce qui libère nos facultés de perception et nos vieux systèmes de croyances qui nous empêchent d’évoluer. Quand nous avons plusieurs définitions nous pouvons dire que nous comprenons. Si nous n’avons qu’une définition, nous ne pourrons pas comprendre pleinement la situation. Le cerveau est toujours en train de comparer les différentes informations sur nos expériences. C’est ainsi que nous augmentons notre compréhension. Notre compréhension est limitée par nos croyances, ce travail vous permettra d’élargir le champ de vos croyances positives.
– projection dans le futur :
Pour vous projeter dans le futur, il faut comprendre la théorie de l’horizon temporel.
Plus vous pourrez vous projeter loin dans le futur plus vous aurez des résultats à long terme.
Un salarié d’une entreprise ne se projette pas aussi loin que le PDG, il va se projeter jusqu’à ses prochaines vacances tout au mieux, alors que le PDG doit penser à la pérennité de son entreprise.
C’est comme un soldat qui doit penser à survivre dans l’instant, alors que le général doit penser à un plan pour gagner la bataille et surtout la guerre.
Donc plus vous pourrez vous projeter loin, et pas seulement à la prochaine compétition et plus vous serez préparé pour l’avenir.
Vous aborderez également les contextes de travail principaux avec vos athlètes, en pratiquant durant le stage.
