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Le saviez-vous ?

  • Une école nationale du cirque, au Québec, utilise la kinésiologie pour la préparation de ses futurs artistes.

Le saviez-vous ?

  • Des universités nord-américaines proposent des cursus professionnels de kinésiologie.

Le saviez-vous ?

  • Des mutuelles, en France, remboursent les séances de kinésiologie.

Le saviez-vous ?

  • Une faculté de médecine au Québec réalise une étude sur la kinésiologie et le sport.

Le saviez-vous ?

  • Le mental est essentiel pour les performances d’un athlète, et le N-T-S a sa propre façon de préparer pour les grandes compétions, ou le mental est automatiquement associer au système musculaire dans son ensemble, sans aucun effort ni entraînement particulier.

Bonjour, je m’appelle Didier Boulay et je suis praticien en kinésiologie orienté vers une solution, en Neuro-training et en N.S.T. Cela depuis plus de 20 ans.

Avec mon ami et partenaire Ludovic Méacci, praticien en Neuro-training, hypnothérapeute, coach sportif, instructeur de yoga, nous avons créé un nouveau concept , le Neuro Training Sportif.

C’est un processus d’optimisation des performances sportives à travers un monitoring musculaire de précision.

A l’heure où j’écris ce texte, 45 jours d’isolement se sont déjà passés.

Je commence à en avoir marre de ces « pots-litiques » et de ce « con-finement ».

Je vais finir par discuter avec un poireau, à faire la bise à mon oreiller, ou à serrer les poignées de porte en répétant « bonjour Madame » ou « bonjour Monsieur ».

Bon, « trèfle » de plaisanterie, comme dirait un lapin dans un carré de luzerne, dixit Fernand Raynaud.

Je voudrais continuer à étendre mes informations sur le N-T-S, en élargissant ma dithyrambique communication à tous les sports.

Vous avez dû voir dans les autres pages que j’étais un fervent supporter de foot. Comme mon partenaire Ludo n’arrête pas de me dire :

«  Il y a les autres sports ! »

« – Ah bon ? »,

j’ai donc décidé de vous en parler maintenant et pour commencer mon propos, je dois vous dire : « concentration !»

Ne dit-on pas parfois d’un athlète qu’il « lait concentré Nest… »( Michel Colucci, tu nous manques) ?

Je démarre en vous expliquant une fonction cérébrale : le système d’activation ascendant de la formation réticulaire, un nom barbare qui désigne neurologiquement la faculté de concentration.

Je vous propose mon explication de la fonction cérébrale concentration, autrement dénommée Système Activateur de la formation Réticulaire (SAR).

Le SAR est toujours focalisé sur sa priorité. C’est à dire qu’il se concentre sur ce qui pour nous est le plus important à un moment donné, sans forcément être en lien avec la situation présente. Il nous faut diriger notre attention consciemment pour rester concentré.

Vous connaissez sûrement des gens qui répètent toujours la même chose. C’est un exemple typique de la concentration bloquée sur un sujet, si la personne ne choisit pas consciemment une réponse différente. Si vous n’arrivez pas à diriger le SAR consciemment, cette fonction agira contre vous et déclenchera des réactions corporelles et du stress. Le SAR est une partie du cerveau découverte récemment. C’est un réseau de neurones qu’on a appelé la formation réticulaire, qui se trouve dans le tronc cérébral. Ah ! Je vous ai déjà parlé de ce tronc mais là, je développe : ce tronc est en relation avec plusieurs parties du cortex. Son rôle est d’éveiller certains circuits nerveux et d’en inhiber d’autres. Le SAR permet au cerveau de donner un sens à votre vécu. Si quelque chose n’a pas de sens pour le cerveau, il va lui en donner un en supprimant, ajoutant, généralisant ou déformant l’information.

La suppression :

Le cerveau supprime les informations dont vous n’avez pas besoin dans l’instant. Seulement si vous supprimez beaucoup d’informations, vous risquez d’avoir des problèmes d’apprentissage. Cependant, comment pourriez-vous trouver quelque chose dans un supermarché sans supprimer ce dont vous n’avez pas besoin ? Supprimer les données inutiles facilite la vie.

Si vous êtes stressé, vous pouvez passer 3 fois de suite à côté de vos clés sans les voir.

Si vous entrez dans une pièce et que vous en ressortez quelques minutes après et que l’on vous demande d’énumérer les objets blancs que vous avez remarqués dans la pièce, vous allez certainement en nommer plusieurs. Par contre si vous rentrez dans cette pièce et qu’il y a le feu, vous n’allez ne voir que le feu.

Ce n’est pas pour rien qu’on appelle le SAR le cerveau vigilant.

L’addition :

Le cerveau va associer des informations pour mieux les comprendre et pour donner ou vérifier un sens à une explication.

La déformation :

Parfois on a besoin de déformer une information pour qu’elle soit en accord ou pour protéger et maintenir nos croyances et attentes. Ceci au risque de déformer le sens de cette information.

La généralisation :

Parfois le cerveau ne prend qu’une partie de l’information pour en faire le motif central d’une expérience ou d’une pensée et ainsi l’information est dissociée de son sens premier. On peut aussi réduire une information à une simple conclusion qui en réduit l’intention primaire.

Vous imaginez bien comment la focalisation peut être essentielle pour un sportif de haut niveau et pour un neuro traineur sportif.

Le fait de travailler cette fonction dans le processus du N-T-S va améliorer cette capacité.

Bien sûr, il n’y a pas qu’une seule fonction cérébrale, je vous expliquerai les autres lorsque l’on se verra.

Voici maintenant l’instant : athlète + techniques = performances

Deuxième lien « douteux » avec le sport de haut niveau en général, la « technique ».

Imaginez que l’on puisse déterminer quels muscles, quel instant T, quel moment de la séquence d’un geste spécifique bug, peut-être d’ailleurs geste ou instant que vous appréciez le plus.

Par exemple, vous faites un smash au ping et au pong ou même au tennis.
Personnellement, je n’ai jamais compris cet engouement pour le tennis.

C’est la même chose que le ping pong sauf que les mecs jouent sur la table (dixit Coluche)…

Quand j’étais jeune, j’adorais le sport en général, j’ai pratiqué le foot, la natation, le judo, le hand, le basket, le volley, le ski, la plongée, le rugby (une fois, je me suis cassé une dent et mon dentiste m’a conseillé d’arrêter), etc…

Mais le tennis, pas tellement, bizarrement, sûrement à cause de mon petit frère qui lui adorait pratiquer en club, et me mettait tannée sur tannée à ce sport ridicule qui ne passionne que quelques millions de personnes à travers le monde.

C’est sûr, ma stratégie tennistique n’était pas terrible à l’époque, je me contentais de viser la « tête » de ce petit C… et ce de toutes mes forces.

Vous avez du vous rendre compte que je n’étais pas un vrai fan de tennis.

Or, il y a plus de 20 ans, mon formateur de l’époque, qui avait créé la première école de kinésiologie française et qui était marié à une allemande, nous avait parlé d’une tenniswoman, allemande elle aussi, et de renommée mondiale ; cette athlète utilisait la kinésiologie. Il n’a jamais voulu nous révéler son nom, elle ne voulait pas communiquer là-dessus, pour conserver son avantage sur ses adversaires, ce qui est bien compréhensif !

Allez, fini de blablater !

Je vous assure que l’on peut équilibrer n’importe quel geste technique, au fur et à mesure des séances, pour augmenter la coordination, l’automatisation, la valeur de celui-ci.

Regardez cette vidéo pour mieux comprendre.

https://www.youtube.com/watch?v=zUy0T6aNGfs

S’il y a bien des artistes qui se préparent comme des athlètes et qui ont besoin d’une haute technicité, ce sont bien eux.

N’oubliez pas que le premier nom du Neuro-training est la kinésiologie orientée vers une solution.

 

Maintenant que j’ai introduit nos cousins « Québec quoi », je voudrais que vous alliez voir ces liens, il vous faut au moins la 6 ou 7 G !

https://www.youtube.com/watch?v=2dq8P9B5uTk

https://admission.umontreal.ca/programmes/dess-en-kinesiologie/

https://www.cpmdq.com/htm/definitionts2.htm

La kinésio, c’est très sérieux outre atlantique, ils ont développé une recherche et même une étude scientifique sur les liens entre kinésio et résultats sportifs, et beaucoup de sportifs canadiens utilisent cette discipline pour booster leur potentiel.

https://www.fmed.ulaval.ca/faculte-et-reseau/a-surveiller/nouvelles/detail-dune-nouvelle/la-recherche-en-kinesiologie/

Vous pourriez faire pareil, en France, si cela est bénéfique pour eux, ça l’est également pour vous ?!

Même en France, rappelez-vous, il y a des mutuelles qui remboursent les séances de kinésiologie.

http://clarissenenard.unblog.fr/2016/12/11/des-mutuelles-prennent-en-charge-les-seances-de-kinesiologie/

Quel que soit votre sport, vous devez bénéficier de ces avancées, pour être compétitif physiquement et mentalement.

Si le NTS vous donne 10% de potentiel supplémentaire, lors d’une compétition, cela sera à coup sûr une clé supplémentaire pour votre succès.

Surtout face à un adversaire qui a tendance à révéler vos faiblesses, à cause de son jeu, de son comportement, de son discours ou bien de sa sale tête.

 

J’adore regarder le judo à la télé.

J’ai pratiqué pendant plus de 10 ans quand j’étais jeune.

J’ai arrêté à 16 ans pour aller courir les filles (encore un sport de haut niveau …).

La dernière fois que j’ai regardé une « compète » de judo, j’ai ressenti une immense déception, un truc incompréhensible.

Notre gigantesque Teddy national, après des années de règne sans aucun partage, est tombé de son piédestal, à cause d’un petit gros qui poussait.

La faiblesse de Teddy, c’est le G.P.G.Q.P (le gaucher petit gros qui pousse)

Ce jour-là, à Paris, il en fallut trois de suite pour l’abattre.

Le premier combat avait déjà été compliqué, le deuxième encore plus et le troisième, japonais celui-là, comme par hasard, et pas le plus fort des japonais en plus, a poussé tellement fort que Teddy, au moment du golden score, s’est fait contrer et est tombé pratiquement tout seul.

Et bien même face à un adversaire coriace, le N-T-S va en amont révéler les faiblesses mentales, physiques, énergétiques et émotionnelles et les corriger.

On peut aller encore plus loin grâce au testing musculaire.

Représentez-vous le swing d’un golfeur, le geste technique par excellence.

Aucun golfeur a besoin de la musculature d’un haltérophile pour envoyer la petite balle dans ce petit trou si loin, si loin, loin…

Vous avez juste besoin de réaliser un mouvement parfait.

En NTS, il existe 9 façons de tester un muscle.

Ce sont les 9 phases de test, je voudrais vous les détailler maintenant :

NEUF FAÇONS DE VERIFIER UN MUSCLE

1. Gamma 1 contraction = adaptation dans le temps présent

2. Gamma 1 extension = adaptation par rapport au passé

3. Gamma 2 contraction = accident

4. Gamma 2 extension = refoulement

5. Étirement du muscle

6. Test musculaire contingent

7. Test musculaire simultané

8. Tension, contre tension

9. Activation musculaire répétée

Toutes ces façons de tester ont un intérêt très spécifique pour le système nerveux central, la neurologie et les fibres musculaires.

On va pouvoir scanner un geste technique, avec une précision quasi chirurgicale, grâce à ces 9 phases de test, et corriger tous les muscles, avec des corrections adaptées et propres aux NTS.

En dernier lieu, je voudrais vous parler de mon sport préféré, et non ! Ce n’est pas le foot, c’est le ski.

S’il y a bien un sport qui a besoin de précision, c’est bien le ski.

Le slalom spécial plus particulièrement ; avec les piquets articulés, il faut une précision d’orfèvre pour enchaîner les virages sans enfourcher.

Je n’ai jamais compris pourquoi certains skieurs se transforment en canards hyperactifs, quand en cas de ratage, ils essayent de remonter la pente pour reprendre leur course. Je préfère voir les autres skieurs qui s’arrêtent définitivement tout en conservant leur dignité.

Cette précision va aussi être un élément du travail en N-T-S.

Quand vous vous rendrez compte que l’on peut tester tous les muscles de la jambe d’un skieur, très précisément, et voir lequel est en faiblesse lors du moment juste avant l’enfourchement, vous serez convaincu du bien-fondé du testing de précision.

Voici quelques muscles sollicités pour la jambe :

Quadriceps, droit antérieur, droit interne, vaste externe couturier, tenseur du fascia lata grand fessier, moyen fessier, péronier, ischio jambier, gracile, jumeaux, soléaire, piriforme, iliaque etc…

Vous voyez bien qu’avec tous ces muscles, on passe dans un processus extrêmement riche et complet.

Je n’ai cité que des muscles de la jambe et rassurez-vous, je ne citerai pas tous les autres muscles du corps, ils sont trop nombreux. Ce qui est certain, c’est que l’on est capable de les tester aussi, peu importe le muscle et sa situation dans le corps.

Dans ma démonstration, je me devais d’être un peu descriptif.

Tous ceci pour vous dire que le N-T-S est utilisé pour améliorer, booster, doper, augmenter, peu importe le verbe utilisé, votre potentiel, votre capacité, votre bagage, vos progrès, vos possibilités, peu importe le nom employé, du moment que cela soit pour vous un avantage décisif sur vos concurrents, lors de vos prochaines compétitions, avec en plus, la passion qui vous anime pour votre sport favori !

Dans quelques instants, je vais vous révéler le secret du N-T-S.

D’abord je dois vous parler de préparation mentale, c’est essentiel pour atteindre et conserver le haut niveau !

Et quoi de plus parlant pour commencer, que de raconter une histoire vraie, la mienne.

C’est de judo dont il est encore question sur cette page.

J’ai débuté cet art à 6 ans et je l’ai pratiqué jusqu’à 16 ans, le moment où étant ceinture marron depuis plus de deux ans, je devais enchaîner un maximum de compétitions pour être éligible à la ceinture noire, le Graal de tous les judokas.

Le problème pour moi à cette période, c’est que je déposais sur la balance 15 kilos de trop, de gras bien évidemment et non de muscles, du coup je tirais dans la catégorie des plus de 75 kilos en adulte.

A l’époque, mon club de judo organisait surtout des compétitions par équipe ; des trucs vraiment sympas, on était allés en Belgique pour se confronter à un club wallon.

Non, ce n’est pas une blague (Belge). J’avais eu la « chance » de tomber contre le champion de Belgique en plus, un mec de plus de 20 ans, pas un poil de gras que du muscle, au top de sa forme, avec une technique et une expérience plus grande que la mienne.

Imaginez-moi, trop jeune, trop gros, pas préparé mentalement, pas assez fort physiquement, inhibé par l’enjeu, ce qu’il a bien pu advenir de moi dans cette compète et toutes celles qui ont suivi dans ma dernière année de judo.

J’ai quand même gardé une certaine fierté pendant toute cette expérience de la défaite, aucun de mes adversaires ne m’a mis directement un « pion », à chaque fois je me faisais entraîner par terre avec un koka ou un yuko, et le match se terminait par une immobilisation ou une clé de bras.

Vous comprenez pourquoi j’ai abandonné ce sport que j’aimais tant.

Je me souviens des entraînements où je me mesurais au fils du prof, une petite boule de muscles et de nerfs remplie de souplesse et d’agilité, qui de temps en temps me faisait faire un soleil autour de son épaule, les petits judokas sont des spécialistes des mouvements d’épaule. Et moi, l’entraînement d’après, vexé par cette défaite, j’arrivais à lui passer un mouvement de hanche, c’était ma spécialité. Eh bien j’adorais ça ! En plus, son père me félicitait, généralement.

Il a fallu toutes ces expériences à la suite où le pire, c’était de me retrouver tout seul comme un C… avec comme seule conseillères, ma frustration et ma honte de ne pas avoir été à la hauteur et d’avoir déçu mes équipiers et surtout mon prof.

Le coaching mental n’était pas vraiment pratiqué quand j’avais 16 ans, j’en ai 56 maintenant.

 

Si j’avais pu bénéficier, pendant ces moments, d’un coaching mental ou psychologique au lieu de refouler mes sentiments, j’aurais sûrement fini par l’avoir, cette couleur Noire. Je le regrette toujours aujourd’hui à cause de ce goût d’inachevé.

 

 

 

Il existe une multitude de techniques pour aider mentalement un sportif :

  • la visualisation corrélée ou non avec des respirations spécifiques

  • les relaxations Schultz, Jacobson, l’Eutonie ou le yoga

  • la sophrologie, la P-N-L, l’hypnose ericksonienne

  • les techniques de méditation, ou les techniques cognito-comportementales

  • Le biofeedback, le renforcement positif imagé, etc…

Ludo utilise et intègre certaines de ces techniques reconnues de coaching mental, elles sont efficaces seules et encore plus, associées et corrélées au N-T-S.

 

Je voudrais vous parler un peu de neurologie.

Comme vous le savez certainement, votre corps est constitué d’environ 60 à 70 % de muscles.

C’est le cerveau qui, à travers les nerfs, le système nerveux, contrôle tous les muscles.

Quand vous faites votre sport préféré, vous allez bien sûr utiliser tous vos muscles en même temps ; seulement, pendant l’utilisation d’un groupe musculaire spécifique, plus particulièrement lors d’un geste technique précis, par exemple, il se peut qu’un muscle ne soit pas à son plein potentiel, au maximum de sa force.

C’est ce que nous appelons dans le N-T-S, les faiblesses musculaires cachées !

C’est comme si le cerveau « débranchait » certains muscles pour se protéger et économiser de l’énergie, et c’est bien dommage de ne pas remédier à ces faiblesses, et c’est ce que fait notre pratique, révéler et corriger ces faiblesses musculaires cachées.

C’est cela le secret du N-T-S, révéler et corriger vos faiblesses musculaires cachées !

Vous allez maintenant passer dans un nouveau paradigme.

Non seulement vous allez continuer votre entraînement habituel, vous allez potentialiser votre routine de préparation mentale et vous allez rajouter ce petit « truc secret » qui peut faire toute la différence.

Il suffit d’une ou deux séances d’une heure par semaine, pour travailler avec notre spécialité.

En plus toutes ces séances sont très spécifiques, contextualisées par rapport à chacun de vos problèmes, de vos objectifs, de vos défis, de vos stress.

Vous n’allez pas travailler de manière globale, ou sur l’objectif de votre voisin, mais sur le vôtre.

Lorsque l’on pratique le test musculaire, on défit les ressources acquises et innées de votre corps, pour mobiliser plus facilement et plus rapidement les meilleures options de votre potentiel.

Si vous avez un problème, avec une déception après une compétition, un manque de motivation ou de récupération, nous testons et corrigeons ces déséquilibres pendant les séances.

Lors de la séance vous pensez à votre défi, nous testons tous vos muscles, vos faiblesses musculaires seront alors révélées et corrigées.

Automatiquement, le mental, l’émotionnel, le physique et l’énergétique sont associés immanquablement et déterminent, enclenchent une nouvelle réponse, durablement, dans votre corps et dans votre esprit, c’est cela « le training neurologique ».

C’est un entraînement de votre cerveau, de votre corps physique, qui va vous permettre d’améliorer, au fur et à mesure, toutes vos compétences, tout votre potentiel, sans aucun besoin d’acharnement de votre part.

C’est la cerise sur le gâteau, le côté pile de la médaille, c’est-à-dire un gain de temps, d’effort pour plus de facilité, d’efficacité et de meilleures performances.

C.Q.F.D.

Voilà, j’en ai fini de ma logorrhée écrite.

 

Merci de m’avoir lu jusqu’au bout, et si vous l’avez fait c’est que cela vous a plu.

Alors appelez-nous !

 

Didier, Ludo

Didier Boulay : 06 08 89 66 89 -95270 Luzarches – diboulay27@gmail.com

Kinésiologue, praticien en Neuro-training et en NST depuis plus de 20 ans

Ludovic Meacci : 06 60 52 75 77 – 75012 Paris – ludovic.meacci@gmail.com

Praticien en N-T, coach sportif, hypnothérapeute, instructeur de yoga, ancien cascadeur

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