Le plus du Neuro-training-sportif

Connaissez-vous l’histoire d’Edson ?

 C’est Edson, un jeune footballeur très talentueux, peu importe le poste qu’il occupe, cela n’a pas tellement d’importance pour notre conte footballistique ; il intègre pour la première fois de sa vie un club professionnel.

Il se sent à ce moment-là impliqué, concerné, enthousiaste, stimulé, confiant, entreprenant, il se sent digne de confiance, il rentre dans le processus de l’intérêt.

Et le voici qui participe, au début à quelques matchs, en tant que remplaçant.

Tout se passe bien, et puis vient l’heure de sa première titularisation, tout se passe bien pendant plusieurs matchs. Il marque des buts, certains même exceptionnels !

Il commence même à être considéré comme un futur génie, près à intégrer au pied levé l’équipe nationale, comparé déjà à ses illustres joueurs élevés au firmament des étoiles, dribbleurs, passeurs, marqueurs, et que sais-je encore ?

Et lors d’un match de final de coupe, patatras !

Son équipe perd, car il marque le seul but du match, mais contre son camp.

Imaginez la déception de ses coéquipiers, celle de son entraîneur qui lui avait fait confiance et surtout son ressenti, la déception teintée d’une énorme culpabilité, il se dit : « je suis nul, je ne suis pas à la hauteur, je ne vaux rien ! ».

Bien sûr, ses équipiers finissent par lui pardonner, et son entraîneur lui redonne une chance, mais on voit bien de l’extérieur que ce n’est plus tout à fait pareil.

Oui, car il est passé du côté obscur de la démotivation, il commence à se sentir désintéressé, intolérant, surtout envers lui-même, fatigué, déçu, indigne, le processus émotionnel à ce moment-là est de rentrer dans l’oppression.

Et puis au bout de quelques autres matchs, en arrive un autre important aussi celui-là, pour le classement général. Et re-patatras ! Ce coup-ci, il fait une passe dans l’axe, les puristes comprendront, et le ballon est récupéré par l’adversaire et finit dans les filets de son propre gardien !

Alors là, c’est la Bérézina, encore une défaite importante à cause de lui !

Il rentre dans la spirale de la frustration, il se sent alors coléreux, négatif, irritable, épuisé, pessimiste, déprimé, le processus est de réprimer son ressenti.

Maintenant il commence à arriver en retard aux entraînements, à limiter les contacts avec ses partenaires qui trouvent qu’il a perdu sa joie de jouer, sa passion qui le motivait avant.

Et vous pouvez imaginer ce qui va se passer !

Il se blesse aux adducteurs et devient totalement indisponible.

Oui ! A partir de maintenant, il rentre dans ce que l’on appelle, en Neuro-training-sportif, le processus d’aliénation, il se sent dans le déni, négligeant, distrait, absent, le résultat est de ne plus être là !

C’est ici que l’on rentre dans une autre spirale, celle des blessures à répétition.

Un coup ce sont les adducteurs, puis viennent le tour des mollets, de la cheville qui se tord toute seule, on ne sait comment, et c’est fini, le destin prévu par les journalistes sportifs s’étiole de jour en jour, les résultats disparaissent, les titularisations aussi, le contrat devient caduc, et on se retrouve dans une division ou un  championnat inférieur.

Alors qu’il suffit juste de connaître un bon Praticien en N-T-S (je me fais un peu de pub) qui saura équilibrer et décoder le stress.

Et ainsi revenir dans  l’intérêt, la satisfaction et bien sûr dans l’engagement,

Ce n’est qu’un conte, et si j’ai pris le nom d’Edson pour l’illustrer, c’est que Edson Arantes do Nascimento, c’est Pélé, le plus grand buteur de tous les temps.

Je vous rassure, il n’a jamais vécu cela, sinon sa carrière n’aurait peut-être pas été la même (blague).

Maintenant que cette histoire est terminée, j’espère que vous comprenez mieux où je veux en venir.

 

Comment peut-on dissocier le sport de l’émotionnel, quand on pense que le premier moteur d’un sportif, c’est la passion. Cette passion  que l’on ressent quand on est un sportif en herbe et que l’on rejoint ses copains pour un match de coupe du pâté de maisons.

 Ce ne sont pas des considérations financières ou professionnelles qui nous motivent, mais une passion dévorante pour assouvir cette envie irrépressible de se confronter et de gagner.

Que dire de l’intensité émotionnelle que vous ressentez quand vous gagnez le match le plus important de l’année, ou que vous êtes sur le podium et que vous entendez l’hymne national de votre pays ? Cette intensité liée à la victoire est tellement communicative, que même comme simple supporter, vous  pleurez de joie en symbiose avec la victoire de votre favori.

Alors ne pas faire  de travail émotionnel pendant une préparation sportive est un non-sens pour nous. 

Donc vous avez bien compris que le plus du N-T-S, c’est le travail sur l’émotionnel.

Avant d’aller plus loin, je voudrais vous parler de votre cerveau.

Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous faire un cours d’anatomie du cerveau.

Le cerveau est constitué de 3 parties, le néocortex qui gère le mental, la pensée, la raison, la logique, etc… c’est le cerveau de l’homo sapiens.

La deuxième partie, c’est le système limbique, le cerveau des mammifères, qui s’occupe de l’émotionnel inconscient, les propriétaires d’animaux de compagnie savent bien que leurs compagnons sont très affectueux et qu’ils ont surtout des réactions émotionnelles instinctives.

Et en dernier le tronc cérébral ou cerveau reptilien, qui lui s’occupe surtout du physique, donc des muscles. Il gère la survie de l’espèce et de l’individu, la lutte, le combat, la fuite, la défaite, les réactions instinctives.

C’est maintenant que je voudrais revenir à notre Edson et à sa fin de carrière à cause de ses blessures récurrentes.

Je vais poser une hypothèse !

Pour nous, les deux praticiens en N-T-S que nous sommes, je les appellerai Ludo et Didier, parce que ce sont nos prénoms !

Nous essayons toujours, lors de nos séances, de découvrir le processus émotionnel sous-jacent à un problème physique ou mental.

Pourquoi ?

C’est très simple, c’est le système limbique qui fait le lien entre le néocortex et le tronc cérébral, et donc la communication se fait à travers des émotions, pas seulement des pensées ou des mouvements, mais surtout des ÉMOTIONS.

Cela veut dire que chaque pensée et  chaque mouvement, est reliée à une émotion.

Si vous ne vous occupez pas de l’émotionnel, en même temps que le mental et le physique, votre cerveau marchera sur deux pattes, au lieu de marcher comme la nature l’a prévu, sur trois pattes.

La symbolique d’une blessure musculaire est très simple en fin de compte.

Nous sommes, notre corps est constitué d’environ 70 % de muscles.

Le muscle, c’est la force la résistance, la puissance. Dans le cas d’Edson qui n’arrive pas ou plus à être performant, c’est ce qu’il vit mentalement, la non performance !

Pour un athlète de haut niveau c’est ce qui mentalement est le plus important, la performance, être plus fort que les autres, et en vivant des contre-performances, c’est là qu’il commence à se dévaloriser, à se culpabiliser et c’est ici qu’intervient le ressenti : « je suis un gros nul, je ne vaux rien, je n’y arrive pas, je ne le mérite pas, etc. »

Son inconscient n’a plus d’autre choix que de valider cela et comme ce ressenti d’impuissance colore toute sa nouvelle expérience en tant que sportif, et que les muscles, le physique, qui est le troisième vase communiquant, va devoir gérer le problème émotionnel en dernier lieu, il finit par se blesser et a du mal à s’en sortir mentalement et dans son corps.

Il se sent impuissant à réaliser des bons résultats, loin de ces/ses performances que tout le monde attend de lui, et plutôt que ne pas les réaliser, mieux vaut rester sur le banc.

Voici le langage de son inconscient : impuissance = blessure.

La solution, pour nous deux (Ludo et Didier) c’est de travailler le mental, l’émotionnel, le physique et clé suprême du N-T-S, l’énergétique.

Cette petite histoire d’Edson, vous pouvez la transposer à n’importe quel autre sport, le N-T-S est conçu pour tous les athlètes, quel que soit leur statut, leur envie et leur spécialité.

Je pense que maintenant, grâce à cette histoire, vous avez compris un des outils essentiels du N-T-S : « le baromètre de motivation ».

J’espère que notre histoire vous a plu, Il ne vous reste plus qu’à nous contacter.

Merci pour votre intérêt et votre patience.

Ludo et Didier

Plus d’infos sur Messi et le travail émotionnel :

https://www.lci.fr/football/si-lionel-messi-est-aussi-fort-cette-saison-cest-grace-a-des-therapies-emotionnelles-et-des-elixirs-floraux-1523778.html

 

Ludovic Meacci : 06 60 52 75 77 – Paris – ludovic.meacci@gmail.com

Praticien en Neuro-Training, coach sportif, hypnothérapeute, instructeur yoga, ancien cascadeur moto

Didier Boulay : 06 08 89 66 89 – Luzarches – diboulay27@gmail.com

Praticien en kinésiologie, en Neuro-training en NST Bowen depuis plus de 20 ans

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